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 les Hommes de la rues

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matrium

matrium


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MessageSujet: les Hommes de la rues   les Hommes de la rues EmptyLun 7 Mar à 15:12

Voici mon texte, l'intro n'est pas encore réellement fini.

PROLOGUE


Il venait de descendre de l’avion dès son arrivé dans l’aérogare il sentait qu’il manquait quelque chose, une petite chose, juste un odeur, celle là était trop propre. Ce qui l’avait d’abord surprit, c’était les murs, d’un blanc des plus purs. Mais il n’était pas au bout de ses surprises, ensuite ce fut ses immense salles vides, avec seulement quelques personnes assit sur des siège tous différents les uns des autres. Il entra alors dans la galerie marchande de l’aéroport, il n’y avait que des magasin de sièges, les assied- partout comme on les appelait. Il y avait de grand panneau : « Il est obligatoire de posséder son siège portatif son pêne d’un amende de 300F ». Il entreprit alors, comme le disait le panneau d’acheter un assied-partout. Ceux-ci était particulièrement chère. Il prit un des moins chères, en mousse, pour qu’il soit confortable, mais ni automatique, ni avec une télécommande, cela coûtait trop chère. Il sortit du magasin, la seule sorti était un portique, il était pressé, il le passa, il se retrouva devant un grand bâtiment, avec une seul entré. Le mur était parfaitement blanc, on pouvait s’y voire. Il y pénétra, un douanier français se présenta devant lui
« _Contrôle de sanité ! Mettez-vous en caleçon et passé par cette porte, vos affaires vous seront rendues après.
_Pas de problème, mais à quoi cela sert ?
_Les nouvelles directives monsieur, dit-il, détection des virus, décontamination, vaccination. Cela ne prendra que quelques minutes.
_Ok »
Le douanier attendit qu’il se déshabille, prit ses affaires et sortit, le laissant seul. Il franchit la porte pour entrer dans un salle carrelé, avec des douches au plafond. Une voix se mit alors à résonner, lui faisant passé sous les douches l’une après l’autre, certaines envoyaient du savon, d’autres des désinfectants. Il y a avait au total huit douches, avec chacune un produit différent. Il était trempé, une odeur médical pesant lui faisait tourner la tête. « Ne bougez plus ! Mise en marche de la soufflerie ! ». Un bruit de moteur gronda, une vague de chaleur intense le sécha en quelques instants. « Passez à la salle suivante ! » ordonne la voix. Il rentra dans cette nouvelle salle, avec un énorme portique. « Placez-vous au centre du détecteur ! ». Ce qu’il fit immédiatement. Il attendit très peu de temps, puis des lumières sortirent des deux côtés du portiques, rouges, verts, bleus. « Vous vous êtes casser la jambe il y a deux mois, vous êtes en ce moment atteint de rhume, vous n’êtes pas vacciné contre la grippe, le SIDA et le SRAS. Vous êtes allergique aux poires. Vous avez un souffle au cœur »
Il était surprit, tout était exact. Comment ce la pouvait-il marcher ?
« Récupérer les résultats et passé à la prochaine salle ! » Il entra dans la salle suivante, avec la feuille, qu’il avait récupéré prêt de la porte. Un médecin l’attendait assis.
« _Bonjour, donnez moi vos résultats ! »
Il tendit sa feuille.
« _Bien, continua le médecin, asseyez-vous, tendez moi votre bras s’il vous plaît. »
Le médecin prit des vaccins, et enchaîna trois piqûres, grippe, SIDA et SRAS.
« Voilà, maintenant vous pouvez partir, prenez ce papier et donnez le au douanier, il lui tendit un papier, merci beaucoup »
Il sortit, le douanier se présenta devant lui, lui tendant ses affaires, et prenant le papier du médecin.
Il sortit de l’aéroport, maintenant il devait trouver une chambre d’hôtel, et cela n’était pas chose facile à Paris.
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matrium

matrium


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MessageSujet: Re: les Hommes de la rues   les Hommes de la rues EmptyLun 7 Mar à 15:12

CHAPITRE 1 : le détective
« Je vais tout vous raconter depuis le début. Vous ne devez pas bien connaître l’histoire du pays, depuis que le nouveau gouvernement est en place. J’ai l’impression que vous, journalistes étrangers, avez du mal à vous procurer des informations sur ce qui se passe dans ce pays.
A l’époque les résultats de l’étude venaient d’être rendus publics :
L’utilisation collective de sièges et de tables dans les lieux publics facilite la transmission des maladies entre les hommes ».
Tout le monde le savait, envoyer ses enfants à l’école pouvait les rendre malades. Le gouvernement avait, depuis l’élection du président, Monsieur Lauron, pris des mesures drastiques sur l’hygiène. Après la fermeture de tous les WC publics, puis ceux des restaurants, après l’interdiction aux commerçants de mettre leur produit destiné à la consommation dehors, ils ne devaient pas non plus les conserver. Tous les produit devaient être emballés sous vide. Cette fois si, le gouvernement s’en prenait aux lieux publics.
Au début personne ne faisait attention à l’étude, jusqu’à ce que les médias l’utilise comme produit de marketing. En moins d’un mois, tout le monde se promenait avec son siège pliable, par peur d’attraper de graves maladies. Les grands fabricants de meuble avaient compris l’enjeu du marché, et tous les ingénieurs travaillaient sur de nouveaux prototypes. Les idées s’enchaînaient de telle façon que de la simple chaise pliable en bois, on en était arrivé à des chaises en mousse qui se dépliaient dès que l’on appuyait sur un bouton. C’était devenu un phénomène de mode, tout le monde en avait, c’était devenu une marque de respect, on se devait d’avoir le plus beau, le plus high-tech. Des familles entières s’endettaient dans le simple but de « faire bien ». Le président lui-même était sujet à cette mode, étant toujours à la pointe de la technologie. Son siège possédaient des rayons infrarouges. Ceux-ci permettaient son ouverture dès que le président approchait. Les « assied-partout » comme les appelaient les fabricants, représentaient la place de la famille dans la société, il fallait qu’il soit à la démesure des plus riches, à la laideur des plus pauvres.
Et pourtant, malgré toutes les mesures sur l’hygiène qu’avait pris le gouvernement, celui-ci n’avait pas penser à une chose : l’apparition de virus mutés. Les Français qui partaient à l’étranger tombaient très vite malades, mais ce n’était pas un problème, dès qu’ils rentraient en France, ils étaient soignés. Mais certains virus passaient entre les mailles du filet, surtout quand il s’agissait de maladies que l’on avait éradiqué en France, grâce à d’immenses campagnes de vaccination. De grandes épidémies de maladies bénignes il y avait seulement quelques années, faisaient maintenant d’horribles dégâts, car les virus mutés résistaient à la plupart des médicaments connus. La dernière épidémie de grippe est le meilleur exemple. La campagne de vaccination de la grippe, l’hiver précédent avait fait disparaître cette maladie de l’hexagone. Et pourtant un homme, revenu d’Allemagne, contracta un forme muté du virus, celui-ci étant beaucoup plus virulent, personne ne savait que faire. Les malades étaient mis en quarantaine, mais la maladie se développait quand même.
Le salut vint d’un médecin venant de Bourges qui avait découvert qu’une combinaison de trois médicaments anéantissait le virus. S’en suivit un véritable « chasse au malade ». Grâce à cette campagne intensive de soin, la maladie disparut, mais fit quand même deux cent mille morts en France seulement. Aucun autre pays européen n’avait subi cette épidémie, le système immunitaire des français était donc beaucoup moins fort que celui des autres européens.
Cette épidémie ouvrit les yeux au gouvernement, ils interdirent tout voyage à l’étranger. Cette loi conduisit à de grèves énormes, paralysant le pays. Ceux qui travaillaient dans les agences de voyage étaient tous au chômage technique, soit environ 150 000 personnes. Et pourtant le gouvernement ne changea pas d’avis. Certains partirent de France, prenant les derniers avions. En seulement deux semaines, la France perdit cinq millions d’habitants. La plupart fuyait au Canada, aux États-Unis ou en Angleterre. Malgrè ses départs massifs, la population croyait toujours au discours du président. Il disait que la chose la plus importante était l’hygiène, le reste n’était que du confort et du luxe qui coûtait de l’argent au pays. Au début de la prise de pouvoir de Mr Lauron, tous les gouvernements européens avaient protesté. Son parti, son programme, ses discours, tout laissait entendre qu’il voulait couper la France du reste de l’Europe.
« Je ne veux pas d’une Europe qui se désintéresse de l’hygiène, disait-il, comment des pays développés peuvent-ils laisser des SDF dans la rue, avec le risque qu’ils contaminent le reste de la population des maladies qu’ils développent auprès des rats, des chiens errants, et autres animaux malades »
D’ailleurs les clochards étaient un des grands thèmes de sa campagne. Il n’y avait d’ailleurs plus aucun SDF dans les rues. Ils avaient subitement disparu, en moins d’une semaine. On racontait de drôles d’histoires à leur sujet. Les plus optimistes disaient qu’ils avaient été contraints d’aller dans des centres de désintoxication. Mais les plus réalistes pensaient que le gouvernement les avait enlevés et faits disparaître. C’est un proche parent d’un SDF qui m’avait contacté, moi, un détective privé. Il m’avait choisi car j’avais révélé les causes de la disparition du candidat qui s’opposait à Lauron. Cet homme s’inquiétait de ce qui était arrivé à son cousin, Il était la seule personne de sa famille à avoir encore des liens avec lui avant et à l’époque, je ne savais ce que je viens de vous révéler. Je sais que vous cherchez un scoop, vous travaillez pour je ne sais quel journal étranger, mais ne publiez que lorsque je vous aurai raconté toute l’histoire. »
Il acquiesçai, puis le laissai continuer son récit.
*
« Je ne savais pas par quoi commencé. Je n’avais aucune piste, je connaissais juste le dernier squat du clochard. Une maison en ruine dans le XVIIIème arrondissement. L’homme qui était venu me voire ne savais que ça. Et je m’y suis tout de suite rendu. Il n’y avait plus personne, comme je l’imaginais, et squat avait été détruit puis un maison toute neuve y avait poussée. Tout avait été dératisé, désinfecté, désamianté. La nouvelle maison était prêt à être vendu. C’était une maison moderne, de plein pied, la pierre était blanche, mais ne tarderait pas à se noircir à cause de la pollution de Paris. Il y avait un grand panneau avec écrit le nom de l’entreprise de reconstruction : « Maru, pour que ce soit encore mieux qu’avant ». Je tenais enfin une piste, je pris l’adresse du siège de l’entreprise et j’essaya de rentrer de la maison. Ou du moins voir comment était l’intérieur. Mais les barrière de sécurité était encore là, et on ne pouvait s’approcher de la maison. Je suis donc allé au siège de l’entreprise, situé au milieu de La Défense, dans une des plus grande tour du quartier. Entièrement en verre, elle paraissait aussi fragile que du cristal et en avait l’éclat. J’entrais dans le bâtiment, le hall était magnifique, majestueux, tout doré, mais il était vide. On pouvait voire l’extérieur, les murs étaient tout en verre. Depuis la loi pour l’interdiction des siège dans les lieu public, le hall était vide. On avait enlevé les chaises dans les salles d’attentes, les gens amenaient leur siège eux-mêmes. Je me dirigea vers le bureau, il était adossé au seul mur qui bloquait la vue, un grand et épais mur blanc, au se situait l’ascenseur. Sur ce grand mur était inscrit le nom de l’entreprise en grand, très grand, avec une énorme photo de son fondateur, un homme d’un quarantaine d’année, portant la barbe, et une calvitie naissant commençait à se voire. Derrière le bureau je découvrit un jeune femme blonde, elle venait sûrement d’être embauché, elle n’était apparemment pas très riche. Son assied-parout datait de plusieurs mois, il était tout juste en mousse. Elle me souhaita la bienvenue et me demanda la raison de ma visite : je voulait voire le directeur. Cela la surprit un peu, mais après lui avoir montrer ma carte de détective elle appela son patron qui la pria de me laissé monté. Il m’indiqua l’étage et je monta dans le luxueux ascenseur. Tout doré, avec un grand miroir au fond. L’ascenseur monta jusqu’à l’étage demandé où une sensuelle voix de femme annonça : « bureau du directeur, 80ème étage ». Je me présenta à sa secrétaire à sa secrétaire qui me pria d’attendre quelque minute que monsieur le directeur finisse ça réunion.
J’eu le temps de bien observé son bureau, il comportait plusieurs salles. Une salle de réunion, son studio et l’accueil. Je profita de cette attente pour lire les prospectus qui étaient à disposition. Ils vantaient les mérites de l’entreprise. Il était tout le temps à la pointe de la technologie en matière de construction, et prenait le maximum de précaution sur l’hygiène. J’attendis que le directeur arrive non pas quelque minute mais au moins un bon quart d’heure. Il se présenta, et m’invita à rentrer dans son bureau. Son bureau était très sobre, rien de personnel, juste une table 3 chaises et un armoire où était rangé des livres professionnels. Je rentrais tout de suite dans le sujet, il s’attendait à ma question, je n’était pas le premier à le lui posé : Qu’avait-il fait des squatter de la maison du 5 avenue des plaines.
Il me répondu que la maison était vide, que c’était le gouvernement qui lui avait demandé de reconstruire une maison à cette endroit. Cela ne me surprit pas. Mais il ne savait rien qui pouvait m’aider, j’était revenu à mon point de départ. »
*
« S’il vous plaît, pourrions-nous continuer ce soir, j’ai encore du travail, et je pense que vous aussi vous en avez.
_Exact, répondit-il, je m’en vais, nous reverrons-nous demain ?
_Comme vous voulez, à 14H, cela vous va-t-il ?
_C’est parfait, à demain alors. »
Chris ce leva de sa chaise, serra la main du vieux détective, et sortit de son bureau.
Chris travaillait au Times, il était l’un des rares reporter à avoir été invité au congres « pour une Europe plus hygiénique » organisé par le gouvernement français pour populariser sa politique d’isolement.
Le Times l’obligeait à faire un article par jour, il ne savait pas quoi écrire aujourd’hui, le congrès ne commençant que le lendemain, il ne c’était rien passé. Il rentra à son hôtel, un hôtel miteux, le Times disait ne pas pouvoir se permettre de payer un hôtel plus luxueux. Il était à la chambre 21, au deuxième étage de ce bâtiment qui en comportait quatre. Il avait confié sa clé le matin, de toute façon, il était obligé. Il demanda sa clé au réceptionniste :
« Votre clé ? répondis le réceptionniste, la 21, attendez, je crois qu’elle est encore au nettoyage, oui, c’est ça, elle vous sera remise dans cinq minutes à peu prêt, désolé.
_Ce n’est rien, répondit Chris. Je peux m’asseoir dans la salle d’attente ?
_Bien sûr, elle est faites pour ça. »
Chris s’assis dans son confortable et tout nouveau assied-partout. Il sortit le communiqué de presse du congrès, et se mis à lire le programme :
Le lendemain, il irait le matin au discours du président français, il parlerait de sa dernière loi : Le nettoyage de toutes les clés d’hôtel. Cela l’intéressait maintenant, maintenant qu’il était obligé d’attendre sa clé, il avait d’autre chose à faire. Qu’allait-il mettre dans son article, une courte présentation du congrès ? Non, cela il l’avait déjà écrit avant de partir, peut-être allait-il écrire un article sur les nouvelles lois françaises, oui, c’était bien ça. Alors, maintenant il faut trouver les lois dont il va parler. Et si il utilisait ce que le détective lui avait raconté, il l’avait même enregistrer.
C’est à ce moment de sa réflexion que le réceptionniste vint lui donner sa clé, il le remercia d’avoir attendu, et disparu derrière son bureau.
Chris alla directement dans sa chambre, et se mit directement au travail, et transcrivit les paroles du détective sur son bureau grâce à son nouveau programme il n’avait rien à faire, juste à introduire la prise « xinder cam « dans son PC et le texte du détective lui apparaissait automatiquement. Il n’avait alors plus qu’à supprimer ce qui allait pas, et à rajouter une introduction et son nom en bas de la page. Il fit son travail en moins d’une demis heure, ce qu’il trouva très raisonnable. Il se mit ensuite à la recherche d’information sur l’entreprise « Maru ». Il se posait des questions, comment une entreprise peut-elle reconstruire une maison aussi rapidement. Il alla sur le WolrdNet (l’évolution d’Internet qui battait tout les record de prix et de vitesse), il trouve immédiatement le site de l’entreprise, il repéra la partie sur les bilan financier de l’entreprise, et, comme par hasard, un versement très important eu lieu en Octobre 2021, le mois de la destruction puis de la reconstruction du squat.
Et de la part de qui ? Du gouvernement bien sûr. Bon, ça Chris le savait, ce qu’il ne savait pas c’est l’énormité du montant, trois milliards de franc (étant sortis de l’Union Européenne, la France à repris son ancienne monnaie). D’où pouvait bien venir tout cet argent.
Il se faisait tard, Chris préféra se coucher immédiatement plutôt que de passer sa nuit à faire des recherches qui se révéleront sûrement infructueuses. Il fallait qu’il se réveille tôt le lendemain, et il ne voulait rien raté du discours du président, ni du récit du détective.
*
Le « petit roux », comme le surnommait ses anciens amies SDF, étaient enfermés dans une fourgonnette, bâillonné, les yeux bandés, il ne pouvait rien faire, pas bougé. Il avait mal, les cordes qu’ont lui avait mis autour du poignet le torturait, il sentait les cordes rentrer dans sa chair, il sentait le sang coulé. Il était complètement nu, il ne savait pas où on l’emmenait, ni ce qu’on voulait faire de lui. La seul chose qu’il savait, c’est qu’on ne lui voulait pas du bien, on l’avait frappé au visage pour l’amener. Cela faisait plusieurs heure qu’il roulait, plusieurs heures durant lesquels il avait eu le temps de réfléchir sur son sort, et il se disait que de toute façon sa mort, tout le monde s’en foutait, que son seul tord était d’avoir trop joué au poker, et qu’à moins d’un miracle il était condamné à mourir avec se nouveau gouvernement.
*



matrium
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matrium

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MessageSujet: Re: les Hommes de la rues   les Hommes de la rues EmptyMer 9 Mar à 21:11

Vu que je n'ai aucune réponse je vais poser des questions précises :

L'histoire n'est pas trop tirée par les cheveux?

Le passage du texte du détective n'est pas trop rude?

L'histoire du petit roux apporte quelque chose??

matrium qui se pose ds questions
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Le spectre
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Le spectre


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Localisation : 71 Buxy !!!
Date d'inscription : 13/12/2004

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MessageSujet: Re: les Hommes de la rues   les Hommes de la rues EmptyJeu 10 Mar à 18:29

Bon ton texte est lourd dans le sens ou tu ne crée pas d'espaces c'ets simple rapide et les gens accrochent mieux !

Ensuite je ne sais que penser de ce texte il a su suciter en moi un intérêt certain mais il est assez décalé et quelques petits détails gachent un peu tout.


Les incohérences au niveau du temps en 16ans l'évolution ne sera pas telle change la date, fait des descirptions plus poussées du nouveau univers, tu parle de pollution alors que c'est une des grandes causes de maladies (opposition donc) ...

Le texte est bien j'attend la suite !!!!!!!!!!! dwarf
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MessageSujet: Re: les Hommes de la rues   les Hommes de la rues Empty

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